Re: Jouer a MEGA dans l'univers de « la culture » de Iain Ba
Posté : dim. août 31, 2014 10:09 pm
En ce qui concerne l'immortalité physique, c'est une quasi-certitude pour moi. Je ne serais pas étonné que nos enfants voient ce genre de chose. Et nous ne sommes pas NT6 !
Pour revenir à la "Culture", comment Iain Banks gère les avancées biotechnologiques ?
Entre les versions Cyberpunk qui est dans la droite lignée de notre technologie actuelle et Star Wars qui fait totalement l'impasse, comment se décider ?
Je ne suis pas fan des implants bioniques dans mes jeux mais une cohérence avec le niveau technologique s'impose néanmoins. Pour la médecine, ok, je pense que tout le monde s'accorde facilement. Mais ensuite, pour les améliorations possibles, ce n'est pas évident. Ainsi, personne ne devrait avoir des sens déficients sauf à le vouloir, dans Mega. Déjà aujourd'hui, en 2014, presque tout le monde peut avoir 16 dixièmes en vue, techniquement, sans implant. Et avec les imprimantes 3D biotechnologiques actuelles ou dans un futur très proche, les possibilités d'amélioration sont gigantesques.
Bien sûr, on peut boter en touche et dire "ce n'est pas éthique" ou bien une formule magique du genre "les implants ne passent pas les tétraèdres" mais ce n'est pas très satisfaisant.
La gestion de ce genre de phénomène par des auteurs imaginatifs comme Banks mérite d'être étudiée
Pour revenir à la "Culture", comment Iain Banks gère les avancées biotechnologiques ?
Entre les versions Cyberpunk qui est dans la droite lignée de notre technologie actuelle et Star Wars qui fait totalement l'impasse, comment se décider ?
Je ne suis pas fan des implants bioniques dans mes jeux mais une cohérence avec le niveau technologique s'impose néanmoins. Pour la médecine, ok, je pense que tout le monde s'accorde facilement. Mais ensuite, pour les améliorations possibles, ce n'est pas évident. Ainsi, personne ne devrait avoir des sens déficients sauf à le vouloir, dans Mega. Déjà aujourd'hui, en 2014, presque tout le monde peut avoir 16 dixièmes en vue, techniquement, sans implant. Et avec les imprimantes 3D biotechnologiques actuelles ou dans un futur très proche, les possibilités d'amélioration sont gigantesques.
Bien sûr, on peut boter en touche et dire "ce n'est pas éthique" ou bien une formule magique du genre "les implants ne passent pas les tétraèdres" mais ce n'est pas très satisfaisant.
La gestion de ce genre de phénomène par des auteurs imaginatifs comme Banks mérite d'être étudiée