déchirures de l'intercontinuum, explications

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déchirures de l'intercontinuum, explications

Message par admin » dim. déc. 12, 2010 2:48 pm

[Post #00001915 : 'déchirures de l'intercontinuum, explications']Wed Jan 14 15:30:51 CET 1970

Ce post fait suite aux trois précédents portants sur la génèse de l'univers :

Reprenant certaines théories abordées (branes de turbop, liens primordiaux actifs et passifs), il se propose d'expliquer l'existence des déchirures et des brêches par le phénomène de convergence :
Là ou la divergence permet à certains univers de se "dédoubler" puis le suivre leur route, la convergence est le phénomène qui résulte du rapprochement et de la "mise en resonnance" de certains de leurs éléments respectifs,...

Les phénomènes de convergences.

On parle de convergence quand deux univers Intra-QF entre en résonance. Quand il s’agit de deux univers provenant de QF différents, on parle plutôt de catastrophe,….

Le principe général est simple :
Il arrive que certains univers Intra – QF se rapproche et entre en résonance.

Dans la plus part des cas, seul quelques éléments « s’accordent » et l’effet de répulsion interQF généré par les branes est suffisant pour contrebalancer l’effet d’attraction généré par la résonance. De ce fait, on a des brèches relativement limitées, parfois intermittentes.
Parfois, il arrive que l’effet de répulsion faiblisse ou soit inférieur à la résonance et l’on a alors un phénomène de convergence.

Si le principe général est plutôt simple la pratique est beaucoup plus complexe :
En effet, deux forces contraires sont à l’œuvre lors des phénomènes de convergence : la résonance et la force de répulsion.
La résonance se définit par sa force (son amplitude), sa vitesse (sa fréquence), son étendue, en sachant que ces trois données sont souvent non constantes soit dans le temps, soit dans « l’espace ». L’effet de répulsion se définit essentiellement par sa force, qui s’avère être souvent non constante au fil du temps en cas de convergence. C’est ainsi que l’on peut observer des phénomènes d’effondrement de l’effet de répulsion.
Une série de 6 paramètres influent sur le devenir d’une convergence : le différentiel de densité entre les deux univers, le différentiel de cohérence entre ces deux univers, ainsi que les valeurs absolues de cohérence et de densité de chacun des univers.

Ces phénomènes sont de quatre types : convergence asymétrique, convergence cumulative, convergence réciproque, convergence dépolarisante.

1) la convergence asymétrique
La convergence asymétrique est le phénomène le plus heureux. Les deux univers entre en phase, se rapproche, communique entre eux de façon de plus en plus aisé, mais l’un d’entre eux (généralement le plus cohérent) prend le dessus sur l’autre. Petit à petit les réalités fusionnent et le moins cohérent devient de moins en moins accessible et semblent s’effacer, se dissoudre. Seul en restera ensuite le souvenir sous forme de légende.
QF 10001 en a connu plusieurs de cas convergences,… D’ou les légendes d’Avalon, de Tir-Na-Nog,….
Ce type de convergence se manifeste essentiellement quand les conditions suivantes sont remplies : Résonance modérée mais supérieure à l’effet de répulsion, amplitude forte, fréquence faible, variabilité de la résonance si non constante au moins continue..

2) La convergence réciproque
La convergence réciproque : ce phénomène est très rare car il implique des univers de densité et de cohérence similaire et des variables de résonance constante. En outre ceci ne se manifeste qu’avec des conditions de résonance forte ET de répulsion forte. En fait ces univers vont s’échanger des éléments : Si la convergence se poursuit l’univers résultant ne sera ni l’un ni l’autre, mais un mélange des deux. Si la convergence s’interrompt ces univers seront tous les deux différents de ce qu’il étaient au départ, ayant « échanger » des éléments. Il y a même des cas ou en sus de nombreuses brèches permanentes leurs permettent de communiquer l’un avec l’autre durablement. Si les univers n’ont pas des densités et des cohérences similaires, une dislocation d’un voir des deux univers est à craindre.

la convergence cumulative
La convergence cumulative : (Résonance modéré voire faible, mais effondrement de l’effet de répulsion). Il arrive que les deux univers « s’additionnent », l’univers résultant cumulant ainsi les éléments des deux autres, pour devenir plus grand et plus « riche »,… Ceci intervient généralement dans des univers faiblement cohérent, mais on a pu également le constater dans des univers plus cohérent, mais avec des cohérences similaire et « compatibles ». En cas de différentiel de cohérence ou de densité important, on retrouve une convergence asymétrique.

4) La convergence dépolarisante
La convergence dépolarisante : C’est ce que tous redoutent, les deux univers s’annulent pour ne conserver que leurs éléments communs.
a) Dans les univers denses, mais peu cohérent, seuls ces éléments communs subsisteront au milieu d’une très riche soupe de liens passifs, qui ne demanderont qu’à être activer (utilisation de pouvoirs) voir à être polariser (création d’un nouvel univers).
b) Dans les univers à densité moyenne et à forte cohérence, tous disparaîtra, les seuls éléments communs ne pouvant subsister. En fonction du nombre d’éléments communs ces univers mettrons plus ou moins de temps à se déliter, mais finiront par rejoindre le néant ( en fait, la soupe des liens non actifs). Ceci ne souffre que d’une exception : si ces éléments communs sont vraiment très très nombreux, mais il s’agit d’un cas rarissime.
c) Dans les univers peu dense, mais à forte cohérence, tous sera uniformisé, les éléments communs étant répliqués jusqu’à épuisement des liens actifs rendus disponibles.
Certains de nos travaux porte sur le seuil qui sépare b) de c)
Les univers denses et fortement cohérents ne semblent pas permettre de convergence dépolarisante.

En cas de résonance faible et de répulsion forte, il n’y a pas de convergence, juste quelques brèches très limités.

Les résonances les plus destructrices sont les résonances à fréquence élevée et celles de nature irrégulières

5) Les resonnances en chaine
Résonances en chaîne. Si les résonances dépolarisantes sont redoutées, les résonances en chaîne sont la hantise de tous les spécialistes norjans de l’inter-continuum. Les résonances en chaîne se comportent un peu comme une épidémie. Elles partent généralement d’une première résonance dépolarisante (les cas à multiples foyer initiaux sont très rares, mais dévastateurs), qui va laisser un grand nombres de liens primordiaux inactifs, ceux-ci peuvent alors être affectée par une sorte de « résonance résiduelle » émise par les univers voisins et se polariser massivement générant d’un coup une convergence dépolarisante massive,.. et ainsi de suite, le volume des liens primordiaux prêt à être polariser augmentant de façon exponentiel,…

Il s'agit ici, vous l'aurez compris, tant de proposer une explication aux brèches, que de créer un peu plus de background, sur ce sujet :

Idée de synopsis pour une campagne :
les PJ-méga pourraient avoir à stopper une "convergence en chaine". Ceci pourrait , (après divers péripéties) être réaliser au final dans l'intercontinuum en brisant la réaction en chaine et ce, en polarisant différement (donc en créant des "univers") des liens primordiaux inactifs résultant de la convergence dépolarisante initiale. Mais pour pouvoir réaliser cela, encore faudrait-il apprendre à le faire d'un des derniers mythiques "créateur d'univers", qui bien évidemment ne vit pas exactement dans l'immeuble d'a coté et qui a une conception trés personnel des relations sociales,....

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Re: déchirures de l'intercontinuum, explications

Message par admin » dim. déc. 12, 2010 2:49 pm

[Post #00001917 : '']Wed Jan 14 15:30:56 CET 1970

Voila une initiative intéressante !


Voici quelques remarques, questions et suggestions :

Les phénomènes de convergences.

Quand tu parle d’univers Intra-QF, tu entend par la, a l’intérieur de l’un des 8 QF de base ?

Pourquoi ne pas appeler « Branes » le phénomène de répulsion ?

Que pense tu du terme « Résonance AFE » pour Amplitude, Fréquence, Etendue ?


1) la convergence asymétrique

C’est « l’autre monde » des Celtes !

2) La convergence réciproque

Ca ressemble à un état de transition !

3) la convergence cumulative

Sa me fait panser au monde que j’avais développer pour aD&D a fin de pouvoir expliquer la présence de tan de créatures bizarre et autre panthéons de dieux multiples sur la même planète...

Les univers trop bizarre pour avoir une genèse crédible pourrait être le résulta de convergences cumulative.

4) convergence dépolarisante


C’est peut être l’explication quant aux univers cthulhuesques dans lesquelles, les anciens dieux prépare leur retour !


Peut on dire que les univers danses et fortement cohérents soit le résulta d’une convergence dépolarisante passée ?

Du coup nous aurions une explication du manque de « fantaisie » dans certains UP :
Elle a disparu lors d’une convergence dépolarisante.

Idée de synopsis pour une campagne :

« Les créateurs d’univers » sa fait très Valerian, mais je penche d’avantage pour :
« Les créateurs d’univers » c’est un mythe après lequel cour les Mega pour finir par arriver a la solution qui consiste a de rassembler suffisamment d’êtres; et les convaincre de mobiliser leur volonté pour qu’ils formaient un Gestalt interracial a même de créer un monde.
Ce serait sa un « créateurs d’univers »…
En plus c’est beau ! 8)

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