Synopsis.
« De manière fortuite », les P.J sont impliqués dans une étrange affaire : Éveline Petibeur (la charmante directrice des ressources humaines, au siège de Paris), leur fait remarquer d'inhabituels changements récents dans le personnel. Le sous-directeur Jules Garlis aurait été muté dans la récente implantation de la S.E.E à Hong-Kong, et a été remplacé par Henri Blaszak, venu tout droit de l'antenne de Singapour. Les raisons invoquées (il s'agirait simplement de promotions) ne paraissent pas très convaincantes à Éveline.
D'autant plus qu' Henri Blaszak s'est empressé de faire engager quelques nouveaux membres du personnel (entre autres un Chinois nommé Ning Kang, catapulté au rang de Chef de l'entretien).
Il a également fait transférer un technicien d'origine coréenne – un certain Kim Kwon-Tuk – au service « Recherche & Conception ».
Éveline demande aux P.J de l'aider à « coincer Henri Blaszak et ses complices », en réunissant des indices prouvant qu'ils cherchent à dérober certains secrets de la S.E.E (entre autres, le mystérieux projet « Radar Bazar » sur lequel travaille le service « Recherche & Conception »). S'ils parviennent à démontrer au Directeur qu'il s'agit bien d'une opération d'espionnage, ils recevront certainement une récompense (une promotion).
Très vite, les P.J découvrent certains agissements insolites d' Henri Blaszak et d'autres membres du personnel...
Éveline.
Les P.J sont déjà engagés depuis plusieurs semaines (voire quelques mois) à la S.E.E, quand Éveline Petibeur prend contact avec eux pour leur faire part de ses soupçons concernant Henri Blaszak.
Elle affirmera avoir bien étudié leurs dossiers, et avoir suffisamment confiance en eux pour (discrètement) leur demander de l'aide.
Son premier objectif était de tenter de prouver aux responsables de la S.E.E qu' Henri Blaszak trempait dans une affaire louche... Mais, après mûre réflexion, elle s'est dit que l'on ne devient pas sous-directeur aussi facilement.
Il me semble qu'il y a au moins une personne, très haut placée dans la hiérarchie, qui protège Mr Blaszak... Sinon, il n'aurait jamais été promu à ce poste. Certes, du fait de sa carrière, il méritait une promotion. Mais, de là à le catapulter sous-directeur du siège de Paris !
De plus, pourquoi avoir fait muter Mr Garlis à Hong Kong, alors qu'il ne connaît pratiquement rien au secteur asiatique ?
Tout cela me paraît très suspect... Et je crois qu'il y a quelqu'un, de très puissant, qui se cache derrière tout cela. Le problème est là : j'aurais voulu réunir un dossier sur Mr Blaszak, puis le transmettre à Mr De Saint-Etienne... Malheureusement, je ne suis plus sûre de pouvoir lui faire totalement confiance, vous comprenez ?
Il me semblerait plus prudent de réunir un dossier solide, puis de l'adresser à la police ou à la Justice...
L'argumentation d' Éveline paraît relativement logique.
Si, vraiment, Henri Blaszak est « protégé » par un (ou plusieurs) hauts responsables de la S.E.E, il sera trop dangereux de transmettre au siège de Reykjavik ce qu'ils découvriront...
A moins d'identifier avec certitude tous les membres de la société qui seraient des « traîtres » (s'il y en a vraiment).
Malheureusement, c'est loin d'être à la portée des P.J. Les hauts responsables de la S.E.E sont des gens riches, puissants, ayant beaucoup de relations dans les milieux de la finance et de la politique... Même des services officiels, avec tous leurs moyens légaux, hésiteraient à s'y frotter.
NOTE : voilà, normalement, une bonne astuce pour éviter que les P.J aillent directement trouver Mr De Saint-Etienne pour l'embêter avec leurs histoires d'espions...
Que peuvent décider les P.J ?
Ne pas aider Éveline.
Rien ne dit que les P.J vont être totalement convaincus par les explications... Surtout qu'Éveline leur demande pratiquement d'espionner leur(s) patron(s) et leurs collègues. Cela à toutes les chances de leur rapporter des ennuis...
La S.E.E risque de ne pas beaucoup apprécier ces employés qui mettent leur nez dans des affaires qui ne les regardent pas. Surtout s'il s'agit de projets confidentiels auxquels ils ne collaborent pas...
Les Guildiens peuvent alors décider de « motiver » les P.J par des provocations...
Par exemple, Éveline peut mystérieusement disparaître au cours d'une réunion de travail, puis ré-apparaître un peu plus tard, apparemment commotionnée... Elle affirmera avoir été agressée et menacée par des inconnus. Peut-être par ceux qu'elle soupçonne d'être des espions ?
Je crois qu' « ils » vous surveillent aussi, car ils savent que je vous ai tout raconté... A mon avis, pour votre propre sécurité, vous devrez les démasquer ! Sinon...
Si les P.J se sentent directement menacés, ils seront sûrement plus enclins à se lancer dans l'aventure.
Aider Éveline.
Si les P.J sont convaincus, ils vont probablement se lancer dans une enquête (voir plus loin Les P.J mènent l'enquête)... Quoi qu'ils tentent, Éveline leur conseillera la prudence et la plus grande des discrétions.
Le Projet « Radar Bazar ».
En fait, « Radar Bazar » est bidon, mais les gars du service « Recherche & Conception » (Bernard Dumont et ses copains) en parleront comme d'un projet révolutionnaire, sur lequel ils n'ont pas le droit de donner de détails... Ils décriront ça comme un tout nouveau système, destiné à rendre obsolète les « vieux radars du 20e siècle » !
Bref, le genre de truc susceptible de ramener d'immenses bénéfices à la S.E.E.
Les P.J peuvent alors supposer qu'une « puissance étrangère » s’intéresse de près au projet, peut-être même en vue d'une utilisation militaire...
Le nouveau collaborateur de « Recherche & Conception » - un coréen répondant au nom de Kim Kwon-Tuk - a été intégré au service par Henri Blaszak. Prétexte invoqué : « accélérer la finition du projet Radar Bazar ».
Kim Kwon-Tuk aurait déjà collaboré à des recherches de ce genre dans les divisions de Singapour et de Bangkok...
Bernard Dumont rigolera en disant aux P.J qu'on lui confie surtout les corvées les plus fastidieuses (mais qui lui permettent néanmoins d'avoir accès aux plans et schémas de Radar Bazar ! - détail qui frappera les P.J mais ne semble pas inquiéter les gars de « Recherche & Conception »).
Les P.J mènent l'enquête.
Fouille dans les dossiers du personnel.
Ces dossiers existent sous plusieurs formes et, normalement, seules les personnes habilitées peuvent y avoir accès.
La version papier. Les dossiers sont gardés dans les services administratifs du siège de la S.E.E, dans une armoire fermée à clé. Il faut travailler comme secrétaire (par exemple) pour pouvoir y accéder... Et pouvoir fournir une bonne explication si l'on est surpris à y fouiller.
La version informatique. A partir du moment où une bonne partie des tâches administratives sont informatisées, le serveur de la S.E.E contient pas mal d'informations concernant le personnel (adresses, salaires, carrière, etc). Mais, là également, tout le monde ne peut pas avoir accès à n'importe-quoi.
Évidemment, le contenu de ces dossiers est partiellement (voire complètement) falsifié, et ne correspond pas au contenu des vrais fichiers du personnel... Qui, eux, sont gardés dans un serveur informatique, totalement hors de portée des P.J !
Dossier d'Henri Blaszak.
Français, la quarantaine. Travaille dans la S.E.E depuis plus de 10 ans, dont la majeure partie dans des antennes asiatiques. Polyglotte, il parle plusieurs langues asiatiques (dont le Cantonnais et le Mandarin).
Il a été récemment rappelé de l'antenne de Singapour pour prendre le prestigieux poste de sous-directeur du siège de Paris... Mais, les raisons exactes de cette « promotion » ne sont pas précisées dans le dossier.
Dossier de Kim Kwon-Tuk.
C'est bien un employé de la S.E.E, originaire de Corée et ayant travaillé dans les division de Singapour et de Bangkok. Toutefois, il devrait avoir l'air plus âgé et grisonnant (celui de Paris semble avoir 15 ou 20 ans de moins). De plus, curieusement, il ne semble pratiquement avoir aucun problème de vision (alors que son dossier précise qu'il est très myope et porte des lunettes en permanence).
Dossier de Ning Kang.
Ning Kang parle le Français avec un accent indéfinissable (ça ne ressemble pas vraiment à un accent chinois), mais son dossier précise qu'il serait né... à Paris ! Ce qui expliquerait effectivement sa grande méconnaissance de la Chine. Là également, la photo du dossier ne semble pas correspondre exactement au physique du bonhomme...
Enquête au service « Recherche & Conception ».
S'introduire dans ce service – sans autorisation – représente un motif d'enquête, voire de renvoi de la S.E.E !
Les P.J ont donc intérêt à se montrer prudent.
Si l'un des P.J travaille dans le service. Dans tous les cas, il ne sera jamais affecté à l'équipe de « Radar Bazar » ; il travaillera sur d'autres projets soit-disant « d'importance secondaire » (mais authentiques ceux-là).
En parlant avec ses collègues – toujours gentils mais réservés sur le sujet – il comprendra que seuls quelques employés de confiance (dont Bernard Dumont) travaillent sur « Radar Bazar »...
L'arrivée de Kim Kwon-Tuk sera perçue comme une surprise, mais tout le monde semble supposer que le patron sait ce qu'il fait.
De temps en temps, divers documents relatifs à « Radar Bazar » peuvent passer sous le nez du P.J, apparemment par hasard. Les plus intéressants sont de grands schémas extrêmement complexes, compréhensibles exclusivement par des spécialistes du domaine.
Un examen superficiel par le P.J peut lui faire croire qu'il s'agit là, effectivement, de plans révolutionnaires...
En fait, un examen approfondi (en ayant les bonnes compétences) permettrait de se rendre compte que ces schémas sont bidons : il s'agit de systèmes-radar modernes mais tout à fait classiques, modifiés avec des ajouts sans utilité précise. Malheureusement, le P.J n'aura jamais le loisir de les étudier à fond (sauf s'il volerait ces documents... mais leur disparition provoquerait aussitôt un branle-le-bas de combat dans le service).
Bien sûr, il s'agit juste d'une manœuvre d'intox, destinée à faire croire que « Radar Bazar » est une réalité.
Si aucun des P.J ne travaille dans ce service.
S'introduire dans les bureaux de « Recherche & Conception », sans autorisation, est risqué. Avant de partir du service, Bernard Dumont ferme toutes les portes à clé et branche un système d'alarme basé sur la détection de mouvement.
Bernard Dumont et quelques autres collègues sont sensés travailler sur « Radar Bazar » dans la journée. En fait, ils travaillent sur d'autres choses, mais laissent intentionnellement traîner des (faux) documents relatifs à ce projet bidon.
Le soir, les documents papiers sensés être les plus « confidentiels » sont soigneusement rangés dans une grande armoire blindée, fermée à clé. En fait, il ne s'agit que des schémas falsifiés décrits plus hauts. Ouvrir l'armoire sans posséder la clé, ni des outils appropriés, peut s'avérer un peu compliqué...
Dumont et ses collègues travaillent sur de vrais projets, mais ils les cachent dans d'autres endroits... Notamment dans des gros dossiers portant des étiquettes anodines telles que « archives » « factures fournisseurs » ou « projets refusés ». Aucun ne porte ostensiblement une indication du genre secret, ou confidentiel. Il y a des dizaines et des dizaines de ces gros dossiers, et il faudrait pratiquement les ouvrir tous pour se rendre compte que certains contiennent autre chose que des vieilles paperasses.
Il est également possible que les P.J tentent de pirater le serveur de la S.E.E pour s'introduire dans la partie réservée à l'usage du service « Recherche & Conception »... Là également, c'est risqué
Filature de membres du personnel.
Henri Blaszak.
Il sera extrêmement difficile de suivre le sous-directeur de la S.E.E, qui est souvent extrêmement occupé, ou bien en voyage d'affaires.
Son domicile est un luxueux appartement, situé dans le seizième arrondissement, et solidement protégé par des systèmes d'alarme très sophistiqué.
Henri Blaszak est marié avec une charmante dame, d'origine asiatique, qui n'est absolument pas au courant de ses « activités secrètes » au sein de la S.E.E.
Kim Kwon-Tuk.
Loue un appartement modeste (mais propre) dans le 13e arrondissement, dans un quartier dont les habitants sont majoritairement d'origine asiatique. Il n'est pas très bien protégé, mais il est difficile de s'y introduire sans se faire remarquer par quelqu'un (le concierge, la femme de ménage, des voisins, etc).
Une « visite » à l'appartement, quand Kim Kwon-Tuk est absent, est possible... On peut trouver quelques indices divers (entre autres, qu'il prends parfois ses repas Chez Monsieur Lee – on peut trouver des notes de restaurant, en évidence sur le bureau).
Ning Kang.
Habite également dans le 13e arrondissement, mais dans un quartier sinistre et mal fréquenté. Son appartement est dans un hôtel borgne, en face du Lotus Pourpre, sensé être un « salon de massage ». La présence d'une « bande de Blancs » (le groupe des P.J) n'y passera pas inaperçue.
Son appartement contient sûrement des indices compromettants...
Chez Monsieur Lee.
Attention : ce petit restaurant du 13e arrondissement n'a absolument rien à voir avec la S.E.E.
C'est un établissement de « restauration rapide » dont la spécialité est la soupe au bœuf et nouilles. La plupart des clients sont souvent des parisiens d'origine asiatique, mais il peut être également fréquenté par des touristes.
C'est là que Kim Kwon-Tuk et Ning Kang se rencontrent pour discuter ou échanger des documents, théoriquement à l'abri des regards du personnel de la société.
Évidemment, c'est de la mise en scène destinée aux P.J. Cependant, les P.J n'ont pas intérêt à « faire du scandale », sous peine de voir débarquer des authentiques forces de l'Ordre.
En fait, « Radar Bazar » est bidon, mais les gars du service « Recherche & Conception » (Bernard Dumont et ses copains) en parleront comme d'un projet révolutionnaire, sur lequel ils n'ont pas le droit de donner de détails... Ils décriront ça comme un tout nouveau système, destiné à rendre obsolète les « vieux radars du 20e siècle » !
Bref, le genre de truc susceptible de ramener d'immenses bénéfices à la S.E.E.
Les P.J peuvent alors supposer qu'une « puissance étrangère » s’intéresse de près au projet, peut-être même en vue d'une utilisation militaire...
Le nouveau collaborateur de « Recherche & Conception » - un coréen répondant au nom de Kim Kwon-Tuk - a été intégré au service par Henri Blaszak. Prétexte invoqué : « accélérer la finition du projet Radar Bazar ».
Kim Kwon-Tuk aurait déjà collaboré à des recherches de ce genre dans les divisions de Singapour et de Bangkok...
Bernard Dumont rigolera en disant aux P.J qu'on lui confie surtout les corvées les plus fastidieuses (mais qui lui permettent néanmoins d'avoir accès aux plans et schémas de Radar Bazar ! - détail qui frappera les P.J mais ne semble pas inquiéter les gars de « Recherche & Conception »).
A part ça, Kim Kwon-Tuk semble soigneusement éviter la présence de Ning Kang dans les locaux de la S.E.E. Normalement, ils ne se connaissent pas. Mais, les P.J fouineurs peuvent découvrir que les deux asiatiques fréquentent régulièrement le même petit restaurant (Chez Monsieur Lee).
Les P.N.J.
Éveline Petibeur (DRH)
charmante, ambitieuse, manipulatrice, opiniâtre
Notre sympathique DRH est en faite une psychologue de la Guilde spécialiste du recrutement.
C'est elle qui est responsable de l'évaluation des nouvelles recrues elle est aussi célèbre chez les recruteurs pour manque de détachement lors des scénarios auxquels elle participe activement.
Henri Blaszak (sous-directeur de S.S.E paris)
Il remplace Jules Garlis quelques semaines avant le début de l'aventure. Cette nomination a provoqué l’émergence d'un tas de nouvelles rumeurs, et les P.J en ont certainement entendu plusieurs... Sans doute sans y prêter beaucoup d'attention.
Henri Blaszak est pratiquement un inconnu au siège de Paris, et on s'interroge sur les motivations ayant poussé le Conseil d'Administration de la S.E.E à envoyer Jules Garlis à Hong-Kong.
Les P.J ont intérêt à se rappeler que Mr Blaszak est leur patron, et qu'on embête pas son patron avec des histoires ridicules concernant de rocambolesques histoires d'espionnage... Il apprécie encore moins qu'on l'accuse ouvertement de se livrer à des activités illégales (ou que l'on tente de farfouiller dans ses affaires).
Description : la quarantaine dynamique, toujours impeccablement coiffé et rasé, costume-cravate de luxe, montre de prestige. Bref, le cadre typiquement élégant, manifestement passé par une ou deux grandes universités anglo-saxonnes.
Ce qu'il peut raconter :
Au sujet de Éveline Petibeur : il considère que la DRH est « fatiguée par son travail, probablement un peu dépressive ». C'est ce qui la pousserait parfois à imaginer « des choses un peu curieuse » (sur lesquelles il ne désire pas s'étendre). Dans son propre intérêt, il lui a conseillé d'aller consulter un psychologue et – éventuellement – de prendre des vacances.
Au sujet de Kim Kwon-Tuk : c'est lui qui s'est arrangé pour le faire intégrer au service « Recherche & Conception ». Il affirme que c'est un spécialiste compétent et expérimenté, capable de faire progresser plus vite le projet « Radar Bazar ». Mr Blaszak se porte garant de sa loyauté envers la S.E.E et éclatera de rire si les P.J décrivent Kim Kwon-Tuk comme un espion potentiel.
Gadgets : Henri Blaszak possède un stylo métallique – étrangement gros – auquel il semble parfois parler (=> « Ning Kang » parle bien à son balais, lui). Il affirme que c'est un nouveau modèle à la mode, acheté à Hong Kong...
Kim Kwon-Tuk.
Dans l'histoire imaginée par les Megas, c'est un espion infiltré dans le service « Recherche & Conception », chargé de récolter le maximum d'informations sur « Radar Bazar ». Éventuellement, il peut également tenter de saboter les recherches ou de participer au kidnapping d'un membre de la S.E.E (l'un des chercheurs).
Il est sensé prendre ses ordres de Ning Kang... Mais, évidemment, cela ne se fait pas ouvertement sous le nez des P.J. C'est au cours de leur enquête que les P.J doivent s'en rendre compte.
Coup de théâtre éventuel : Kim Kwon-Tuk est bien un espion, mais s'il est « démasqué » par les P.J, il joue une scène larmoyante, expliquant qu'il agit contre son gré. Dans son pays, les autorités ont arrêté les membres de sa famille et menacent de les exécuter s'il n'obéit pas aux ordres... Kim Kwon-Tuk expliquera que Ning Kang le surveille, et le tuera sûrement s'il « retourne sa veste ».
Si les P.J croient son histoire, il peuvent imaginer un plan pour mettre Ning Kang hors d'état de nuire, avec son aide.
Ning Kang (chef de l'entretien)
Nouveau responsable de l'entretien des installations. Théoriquement responsable du fonctionnement technique des installation il semble d’avantage avoir les qualification de technicien de surface.
Si un PJ a quelques connaissance en culture chinoise, il risque de trouver Kang particulièrement ignare (c'est un Mega non originaire de la terre)
toujours a suivre les pj il porte sur lui un bleu de travaille avec soi une trousse a outil ou un balai-serpillière (parfois il semble parler an un dialecte étrange a son balais )
« Ning Kang » peut être tout simplement un Norjan ; j'avais dans l'idée que beaucoup de Norjans avaient des caractéristiques physiques qui les faisaient ressembler à des Asiatiques aux yeux des Terriens. Particularité physique : une pilosité pratiquement nulle et pas de cheveux ; le Norjan est obligé de porter une perruque et des faux sourcils pour passer plus ou moins inaperçu (évidemment, on peut remarquer ces détails si on l'observe de très prés).
En ce qui concerne son ignorance de la culture chinoise, elle risque de passer inaperçue de la plupart des P.J... A moins qu'un joueur rigolo n'ait vraiment créé un P.J asiatique ou un bourlingueur. On peut accentuer le côté comique de l'affaire si Ning Kang est un baratineur-né, et invente n'importe-quoi quand on lui pose une question sur un sujet dont il ignore tout !

Dans l'histoire imaginée par les Megas, c'est Ning Kang qui est le « supérieur » de Kim Kwon-Tuk. Discrètement, il le tient à l’œil, d'un air sévère (Kim Kwon-Tuk a une expression résignée et effrayée quand il est dans les parages).
Les P.J doivent comprendre que Ning Kang est un « vrais méchant », probablement très dangereux.
A noter que c'est, en réalité, un vrais Mega. Bien que Norjan et adepte convaincu des vertus du pacifisme, c'est un expert en arts martiaux, capable de flanquer une raclée aux P.J.
Proposé par:
Lord Foxhole et Major Turbop